• J'ai eu le privilège d'assister l'année dernière - 2006 - à une conférence d'Ester Willer qui est issue d'une communauté Amish aux Etats Unis.

    Elle vit depuis pas mal d'années avec son mari en Allemagne.

    Voici son site de patch :

    http://www.english.millersquilting.de/seiten/homee.htm


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  • L'Ambassadeur extravagant : Alexandre Vattemare, ventriloque et pionnier des échanges culturels internationaux (Broché)
    de Pierre-Alain Tilliette (Auteur), Earle Havens (Auteur), Collectif (Auteur)

    Présentation de l'éditeur
    L'Ambassadeur extravagant conte l'incroyable histoire du Parisien Alexandre Vattemare (1796-1864), personnalité hors normes, et de ses métamorphoses de ventriloque en philanthrope et magicien des échanges internationaux. La vie extraordinaire de ce personnage mérite certainement aujourd'hui d'être racontée : non seulement comme une page marquante de l'histoire des bibliothèques et des échanges culturels ou comme un épisode édifiant des relations franco-américaines, mais encore comme un exemple, valable pour toutes les époques, de ce qu'un homme seul peut, à force de conviction et de persévérance, sinon changer le monde, du moins en influencer le cours. Biographie abondamment illustrée, le livre introduit l'idée qui présida au parcours d'une vie : la poursuite d'un rêve inouï conduisant à une réflexion sur le fondement de nos démocraties contemporaines. De brèves synthèses des meilleurs spécialistes guideront le lecteur vers la découverte des diverses facettes du personnage et inviteront à mesurer l'importance et l'universalité d'un projet résolument moderne, qui place le livre et la culture au cœur de la fraternité entre les mondes.
     
  • Broché: 287 pages
  • Editeur : Le Passage (8 février 2007)
  • Collection : LIVRE ILLUSTR
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 2847420983
  • ISBN-13: 978-2847420982

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  • La protection des singes

    Si vous êtes sensible à la protection de l'environnement et à la sauvegarde des singes, allez découvrir le site de Jane Goodall :

    http://www.janegoodall.fr/

     


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  • La Spondylarthrtie ankylosante

    Spondylarthrite ankylosante<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.<o:p></o:p>

    La spondylarthrite ankylosante, aussi connue sous le nom de morbus Bechterew, est une spondylarthropathie (maladie inflammatoire de la colonne vertébrale) atteignant surtout le bassin et la colonne vertébrale.<o:p></o:p>

    Signification du nom<o:p></o:p>

    Spondylarthrite vient du grec spondylos (spondyl) qui veut dire vertèbre et de « arthrite ». Ankylosante vient de Ankylose, qui veut donner comme sens : se solidifie, consolide.<o:p></o:p>

    Synonymes<o:p></o:p>

    • Morbus Bechterew est un autre nom de la maladie. Il est surtout employé hors du monde francophone. Morbus signifie en latin maladie et Bechterew, du nom du neurologe russe Vladimir Bechterew, qui au début du XIXe siècle fit une analyse scientifique de la maladie. <o:p></o:p>
    • Pelvispondylite rhumatismale <o:p></o:p>
    • Spondylite ankylosante <o:p></o:p>
    • SPA <o:p></o:p>

    Épidémiologie<o:p></o:p>

    C'est une maladie relativement fréquente (entre 0,5 et 2 % de la population générale), avec une prédominance masculine nette (2 hommes pour une femme) atteignant préférentiellement l'adulte jeune, les premiers symptômes apparaissant le plus souvent avant l'âge de 30 ans[1]). Son incidence annuelle est variable suivant les études, allant de 0.5 à 14 pour 100 000 sujets[2]<o:p></o:p>

    Causes<o:p></o:p>

    La spondylarthrite ankylosante est étroitement liée au gène HLA-B27, 90 % des malades étant porteurs de ce gène[3]. Ce dernier n'étant présent que dans moins de 10 % de la population normale, ce qui témoigne d'une prédisposition héréditaire. Toutefois la cause en reste indeterminée et la plupart des personnes ayant ce groupe HLA ne sera jamais atteint par la maladie. Il existe également d'autres facteurs génétiques prédisposants, comme semblent le démontrer des formes familiales non dépendant uniquement du HLA-B27. Les gènes suspectés sont multiples, impliqués à la fois dans la survenue de la maladie et dans sa gravité[4].<o:p></o:p>

    Les avancées scientifiques de ces dernières années tendent à rapprocher la spondylarthite ankylosante de certaines maladies inflammatoires chroniques de l'intestin. En effet, lors d'une spondylarthrite, l'intestin est le siège d'une inflammation chronique et souvent silencieuse. De plus, les patients porteurs d'une maladie de Crohn (maladie inflammatoire intestinale) et du HLA-B27 développent dans 50% des cas une spondylarthrite[5].<o:p></o:p>

    Certaines hypothèses font état d'un lien entre la spondylarthrite ankylosante et la bactérie intestinale Klebsiella pneumoniae, un mécanisme de mimétisme moléculaire serait à l'origine de la maladie. Des anticorps dirigés contre la bactérie seraient ainsi capables de s'attaquer aux cellules porteuses du gène HLA-B27.<o:p></o:p>

    Il existe également un modèle animal de la maladie, sous forme de souris transgénique, porteuses du HLA-B27 et qui développent parfois une atteinte proche de la maladie humaine[2].<o:p></o:p>

    Il semble que les articulations atteintes secrètent localement du TNFα[6], une cytokine impliquée dans certains mécanismes de l'inflammation, ce qui expliquerait l'efficacité des médicaments anti TNFα dans cette maladie.<o:p></o:p>

    Effets de la maladie<o:p></o:p>

    La maladie apparaît entre 15 et 35 ans. Elle se manifeste par :<o:p></o:p>

    • une sacro-iliite (ou sacro-iléite) se traduisant par une douleur du bas du dos, chronique, avec un caractère inflammatoire (relativement calmée par l'exercice et non par le repos, survenant souvent la nuit), parfois latéralisée et pouvant irradier à l'arrière de l'une ou des deux cuisses ; <o:p></o:p>

    Elle peut aussi atteindre d'autres articulations, le plus souvent celles des membres inférieurs[7], ainsi que les tendons et les enthèses (points de liaison entre l'os, les tendons et les ligaments) , donnant des arthrites (orteils en saucisse), des tendinites et des enthésopathies.<o:p></o:p>

    D'autres organes en dehors de l'appareil locomoteur peuvent être touchés plus ou moins fréquemment :<o:p></o:p>

    Une fatigue peut être présente.<o:p></o:p>

    La maladie ne diminue pas l'espérance de vie du patient.<o:p></o:p>

    Évolution de la maladie<o:p></o:p>

    Au bout d’un certain temps (plusieurs années d’inflammation), les tendons, les ligaments, les capsules (ce qui est autour de l’articulation) vont se calcifier jusqu'à s'ossifier.<o:p></o:p>

    Au niveau des sacro-iliaques, il y a une fusion entre les deux os (le bassin et le sacrum) et surtout entre les vertèbres. Ces fusions s’appellent des syndesmophytes . Dans ce cas là, on peut aboutir à une forme ankylosante c’est-à-dire à une inflammation suffisamment sévère pour occasionner des enraidissements.<o:p></o:p>

    Dans les formes les plus évoluées, il peut y avoir une ossification complète avec soudure de tous les os concernés : les vertèbres lombaires forment un seul bloc. Cela arrive au niveau du dos mais aussi au niveau du cou.<o:p></o:p>

    Dans certaines zones de l’organisme, tel que les sacro-iliaques, lorsque l’ankylose apparaît les douleurs disparaissent.<o:p></o:p>

    Diagnostic <o:p></o:p>

    Le diagnostic de cette maladie repose sur un ensemble d'éléments dont :<o:p></o:p>

    Examen clinique<o:p></o:p>

    L'ankylose du rachis peut être quantifié (test de Schober). Une douleur peut exister à la pression au niveau des articulations sacro-iliaques.<o:p></o:p>

    Biologie<o:p></o:p>

    Un syndrome inflammatoire est présent de manière inconstante avec une élévation du taux sanguin de CRP et une vitesse de sédimentation accélérée[8].<o:p></o:p>

    La recherche du HLA B 27 est un élément important du diagnostic.<o:p></o:p>

    Imagerie<o:p></o:p>

    Le diagnostic repose sur la visualisation de l'atteinte de l'articulation sacro-iliaque (sacro-iliite).<o:p></o:p>

    • Les radiographies du bassin permettent de visualiser un contour estompé de l'articulation sacro-iliaque, voire un élargissement de la jonction. À un stade plus avancé, elles mettent en évidence des érosions ou des ossifications aux endroits où s’insèrent les enthèses. Parfois, la colonne vertébrale paraît complètement ossifiée et fusionnée avec l'aspect de tronc de bambou dans les formes évoluées. <o:p></o:p>
    • La scintigraphie osseuse permet de repérer les zones inflammatoires mais cet examen a beaucoup de limites car peu spécifique. Il est souvent peu informatif. <o:p></o:p>
    • IRM permet aussi de repérer les zones inflammatoires de manière précoce. <o:p></o:p>
    • Le scanner est utile pour montrer les conséquences à long terme en visualisant les ossifications débutantes. <o:p></o:p>
    • L'échographie peut aider au diagnostic des atteintes des enthèses. <o:p></o:p>

    En France, entre le début de la maladie et son diagnostic, il s'écoule en moyenne 7 ans.<o:p></o:p>

    Autres examens<o:p></o:p>

    Une complication est systématiquement recherchée :<o:p></o:p>

    Critères diagnostiques<o:p></o:p>

    Les premiers critères ont été publiés en 1962[9]. Ils ne comportaient alors aucun paramètre radiologique. A la fin des années 1970, ils ont été révisés, incorporant cette fois-ci la radiologie comme élément, et appelé également Critères de New York dont la dernière version date de 1984[10].<o:p></o:p>

    Une autre série de critères est également utilisée : ceux de l' European Spondyloarthropathy Study Group[11].<o:p></o:p>

    Traitement<o:p></o:p>

    Le traitement de référence demeure les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), pris de façon discontinue ou continue selon la sévérité. Ils sont généralement très efficaces, au point que la sensibilité à ces traitements fait partie des critères diagnostiques de la maladie. En raison de leurs effets sur la synthèse des prostaglandines, les AINS provoquent chez 20 à 40 % des patients des lésions de la muqueuse de l'intestin grêle et/ou du côlon, ils peuvent provoquer aussi des lésions de la muqueuse gastro-duodénale.<o:p></o:p>

    Les antalgiques sont également utiles.<o:p></o:p>

    La lutte contre l'ankylose rachidienne est essentielle. Elle passe par une gymnastique régulière, si possible quotidienne, et des séances de kinésithérapie. L'activité physique et sportive est recommandée.<o:p></o:p>

    Si les anti-inflammatoires ne suffisent pas à contrôler la maladie, des traitements de fond peuvent être envisagés. La Salazopyrine est parfois utilisée avec des résultats variables [2]. Le méthotrexate n'a pas démontré d'efficacité sur l'évolution de la spondylarthrite[12], contrairement aux autres maladie rhumastimales chroniques.<o:p></o:p>

    Les inhibiteurs de la TNFα - ont supplanté ces traitements et s'imposent comme un traitement prometteur. Ils sont efficaces sur les douleurs, le syndrôme inflammatoire, mais aussi sur l'évolution de la maladie avec un recul atteignant quelques années[2]. Leurs effets secondaires et leur effet purement suspensif ne les font cependant prescrire que dans les formes les plus sévères, alors que les formes bénignes sont nombreuses. Le coût de ce type de médicaments est également un frein important<o:p></o:p>

    Dans des cas bien ciblés, une chirurgie peut aider le patient : fixation vertébrale entraînant une immobilisation de la colonne vertébrale mais aussi un soulagement des douleurs.<o:p></o:p>

    D'autres thérapeutiques telles que la phytothérapie (Harpagophytum procumbens, cassis, prêle des champs, reine des prés, lithothame, l'écorce de saule blanc, les feuilles de frêne élevé, vergerette du Canada ...) ou la nutrithérapie (nutrition Seignalet) ont été proposées, mais elles n'ont pas été validées scientifiquement avec suffisamment de poids.<o:p></o:p>

    En France<o:p></o:p>

    Spondylarthrite ankylosante<o:p></o:p>

    CIM-10 :<o:p></o:p>

    M45<o:p></o:p>

    Actuellement (décembre 2006), la spondylarthrite sévère figure dans la liste des 30 maladies dites affections de longue durée qui ouvrent droit à la prise en charge à 100 % (exonération du ticket modérateur) par la sécurité sociale des soins liés à cette pathologie.<o:p></o:p>

    Malades célèbres <o:p></o:p>

    Webographie<o:p></o:p>

    Référence<o:p></o:p>

    1. E Feldtkeller, MA Khan, D van der Heijde, S van der Linden, J Braun, Age at disease onset and diagnosis delay in HLA-B27 negative vs. positive patients with ankylosing spondylitis, Rheumatol Int 23 2003;23:61–66. <o:p></o:p>
    2. a b c d J Braun, J Sieper, Ankylosing spondylitis, Lancet 2007:369:1379-1390 <o:p></o:p>
    3. Brewerton DA, Hart FD, Nicholls A, Caffrey M, James DC, Sturrock RD, Ankylosing spondylitis and HL-A 27, Lancet 1973:301:904–907 <o:p></o:p>
    4. <o:p></o:p>
    5. Purrmann J, Zeidler H, Bertrams J et al., HLA antigens in ankylosing spondylitis associated with Crohn's disease. Increased frequency of the HLA phenotype B27,B44, J Rheumatol 1988:15:1658–1661 <o:p></o:p>
    6. Braun J, Bollow M, Neure L et al., Use of immunohistologic and in situ hybridization techniques in the examination of sacroiliac joint biopsy specimens from patients with ankylosing spondylitis, Arthritis Rheum 1995:38:499–505 <o:p></o:p>
    7. Dougados M, van der Linden S, Juhlin R et al., The European Spondylarthropathy Study Group preliminary criteria for the classification of spondylarthropathy, Arthritis Rheum 1991:34:1218–1227 <o:p></o:p>
    8. Spoorenberg A, van der Heijde D, de Klerk E et al., Relative value of erythrocyte sedimentation rate and C-reactive protein in assessment of disease activity in ankylosing spondylitis, J Rheumatol 1999:26:980–984 <o:p></o:p>
    9. Kellgren JH, Diagnostic criteria for population studies, Bull Rheum Dis 1962:13:291–292 <o:p></o:p>
    10. van der Linden S, Valkenburg HA, Cats A, Evaluation of diagnostic criteria for ankylosing spondylitis. A proposal for modification of the New York criteria, Arthritis Rheum 1984:27:361–368 <o:p></o:p>
    11. Dougados M, van der Linden S, Juhlin R et al., The European Spondylarthropathy Study Group preliminary criteria for the classification of spondylarthropathy, Arthritis Rheum 1991:34:1218–1227 <o:p></o:p>
    12. Chen J, Liu C, Methotrexate for ankylosing spondylitis, Cochrane Database Syst Rev 3 (2004) CD004524 <o:p></o:p>

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  • Roméo et Juliette

    Roméo et Juliette (film, 1968)

    Roméo et Juliette est l'une des nombreuses adaptations de la pièce de William Shakespeare. Ce film réalisé par Franco Zeffirelli en 1968, a remporté deux Oscars (meilleures photos et meilleurs costumes) et a été deux fois nominé (pour le meilleur réalisateur et meilleur film).

    À Vérone, une fleur d'amour pousse malencontreusement dans un jardin de haine.

    Fiche technique

    Distibution

    Anecdotes

    • L'âge des acteurs principaux (Leonard Whiting, 17 ans et Olivia Hussey, 16 ans) était proche de celui des rôles dans la pièce. Ce film a d'ailleurs été très controversé car les deux acteurs apparaissent nus dans le film, alors qu'ils n'étaient pas majeurs. Préalablement, des permissions spéciales ont dû être accordées pour tourner ces scènes.
    • C'est Paul McCartney qui était initialement prévu pour le rôle de Roméo (cf. l'autobiographie de Franco Zeffirelli).
    • Franco Zeffirelli s'inquiétait du poids que prenait Olivia Hussey et interdit de servir des pâtes sur le tournage.

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