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Il y a des pèriodes, comme cela, où le moral n'y est pas et où l'on se demande à quoi cela sert tout cela.
J'ai pas le moral.
Entre le décès de mon grand-père et des soucis au boulot, je déplace ma carcasse avec des angoisses, une boule à l'estomac, une sacrée envie de pleurer et plus envie de rien.
Etrangement, c'est le travail qui me "bouffe" le plus et tout cela parce que j'ai un soucis relationnel avec une de mes collègues qui a un très fort caractère et qui a réussi à me déstabiliser complètement.
Et pour ce qui est la la hiérarchie, c'est du genre : démédez vous entre vous, mais surtout fermez votre gueule.
Et si vous n'êtez pas contente, vous n'avez qu'à partir.
Bon, là, c'était pour nous deux, l'histoire de partir.
Du coup, j'ai plus envie de rien. Et je me referme comme une huitre.
Et je suis loin de mes ami(e)s - presque 900 kilomètres - et de ma famille - entre 500 et 800 kilomètres.
Du coup, dur dur.
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