• Suite à un message reçu, je relaie l'info concernant le massacre des dauphins :

    http://www.lovedolphin.be/Petitionsbis.htm

     

    Voici le lien pour signer la pétition :

    http://www.longitude181.com/actions/petition_form/php/index.php

     

    Voici l'intitulé de la pétition :

    Pétitions

     

    ALERTE Trafic de dauphins

    L’association Longitude 181 NATURE poursuit son combat contre la capture et la détention des dauphins. Elle s’associe à l’Océanium de Dakar, centre ambassadeur de la Charte Internationale du Plongeur Responsable, pour exiger l’arrêt immédiat du projet d un centre de reproduction de grands dauphins Tursiops truncatus, qui doit s’ouvrir dans l’archipel des Bijagos en Guinée Bissau:

    A l’heure actuelle, dans l archipel des Bijagos en Guinée Bissau, 2 sociétés privées (dont une sud-américaine) semblent avoir obtenu une autorisation de créer un Centre de reproduction permanent de dauphins. Elles vont pour cela capturer un grand nombre de spécimens (Tursiops troncatus). Leur objectif premier est d exporter un minimum de 30 dauphins par an (un dauphin coûte 60 000 $ sur le marché des delphinariums). Pourtant, la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d extinction) interdit fermement toute exploitation commerciale des mammifères marins.

    L’archipel des Bijagos, où de grands projets de conservations marines sont en cours d’élaboration, est sur le point d’être classé par l’Unesco. Aca Extremo, une des 2 sociétés impliquées a déjà été pointée du doigt par Greenpeace pour un projet similaire en baie d’Acapulco (Mexique).

     

     

    Pétition en ligne du 06/02/2008 contre l implantation d une plateforme off-shore

    Il s agit de lutter contre le projet d implantation d une plateforme off-shore de regazéification en plein coeur du sanctuaire PELAGOS.

    Implantation qui a été approuvée par le gouvernement italien, malgré l avis défavorable du conseil scientifique de Pelagos.

    Un tel projet entrainerait un grand nombre de nuisances pour la faune marine alentours : perturbations acoustique, accroissement du trafic maritime...

    Si un tel projet voit le jour définitivement, c'est la porte ouverte à d autres dans le même genre.

    Et notre sanctuaire n aura plus lieu d être.

     

     

    Pétition en ligne du 17/01/2008 contre la chaine de supermarchés japonaise Seiyu

     

     

    L'Horreur de Port Futo et de ces massacres sans coeur. le Japon massacre ses dauphins pour la viande et les delphinariums

     

     

    Mais ceci pour vous faire prendre conscience du probleme. Le massacre débute tout les 1 er Septembre de chaque années comme chaque année et se poursuivra jusque en mars de l'année prochaine. Il faut apsolument sensibilisé l'ambassade du japon d'aretter ce massacre une bonne fois pour toute.

     

     Luttons pour stoppé ce massacre

    Pétitions Love-Dolphin

    Pétition Réseau-Cétacé

     

     

    Pétition contre le massacre

     

     

    Pétition contre le massacre

     

    Pétition contre la captivité

     

     

    Information d'un journaliste

    Journalistes agressés lors du tournage d'un massacre de globicéphalesTaiji, Japon, 10 octobre 2001 

    Une équipe de tournage et d'investigation conduite par l'organisation Blue Voice et composée de deux américains et d'un Japonais, se sont fait violemment agressés le 10 octobre dernier dans le petit village côtier de Taiji, Préfecture de Wakayama, pendant qu'ils enregistraient sur vidéo l'abattage de plus de vingt globicéphales.

    Hardy Jones, Directeur exécutif de l'organisation BlueVoice a déclaré : 

    "Nous étions en train de filmer ce massacre afin de le diffuser sur notre site Web, de telle sorte que chacun puisse prendre conscience

    de cette pratique cruelle". 

    Les cétacés avaient été amenés depuis la mer jusqu'à une petite baie près de Taiji par un ensemble de bateaux de pêche. Ce type de "rabattage " (drive-hunt ) fait partie d'un programme largement soutenu par le Gouvernement japonais et qui provoque la mort de plus de 20.000 cétacés par an au Japon. 

    "A de nombreuses occasions, les pêcheurs nous avaient déjà menacés depuis notre arrivée à Taiji, tout particulièrement Larry Curtis, de BlueVoice, et moi-même" a précisé Mme Fujiwara, citoyenne du pays et représentantes d'une organisation japonaise présente sur place. "Ils nous ont dit que si nous ne cessions pas d'enregistrer cette pêche en vidéo, nous finirions par être tués ". 

    Pendant ce temps, d'autres pêcheurs ont tenté de voler les cassettes vidéo ou les appareils photos de l'équipe. Agitant de manière menaçante de lourdes barres de fer, ils ont affirmé qu'ils tueraient les reporters si ceux-ci ne leur livraient pas immédiatement les casettes. Ces derniers ont cependant réussi à regagner non sans mal leur hôtel. 

    Durant plusieurs jours, l'équipe de tournage était pourtant parvenue à garder les cétacés en vie, en exhibant ses appareils photos à chaque fois que le massacre était sur le point de commencer. Leur présence gênait les tueurs et ceux-ci préféraient exécuter leur sanglante

    besogne à l'abri des regards. 

    A l'aube du 10 octobre, à cinq heures du matin  les pêcheurs se sont mis en route sous une pluie battante, supposant que les journalistes ne le suivraient pas dehors par un temps pareil. "Mais nous étions là, bien sûr, continue Hardy Jones, et nous avons pu filmer le premier massacre de toute une troupe de globicéphales, en ce compris un grand nombre de jeunes et de nouveaux-nés. Bientôt, la mer est devenue rouge de sang et pendant que les projectiles pleuvaient sur l'équipe de tournage, celle-ci, imperturbablement, continuait à filmer. Chacun pourra bientôt voir ces scènes atroces, a conclu Hardy Jones, un véritable film d'horreur, qui sera diffusé sur le site de Blue Voice mais que nous pourrons également fournir sur demande après montage". Insistons par ailleurs sur le fait qu'en diffusant largement de telles images sur les chaînes de télévision, tant japonaises qu'étrangères, et quelque soit leur qualité technique, les journalistes du monde entier feraient oeuvre utile et permettraient l'arrêt rapide de pratiques aussi barbares. Force est de reconnaître, malheureusement, que jusqu'à nouvel ordre, ces massacres sont encore très largement ignorés par la presse et le grand public francophone. 

    D'ores et déjà, on consultera la chaîne

    http://www.animalchannel.org/

    afin de visionner les premières images.

     

     

     

    Hardy Jones, fondateur de BlueVoice, est un ancien journaliste de CBS et d'UPI. Il filme l'océan et les mammifères marins depuis plus de vingt ans, dans le cadre de documentaires télévisées. C'est en prenant conscience du fait qu'il forçait les pêcheurs japonais à renoncer à massacrer des dauphins rien qu'en dirigeant vers eux une caméra - et même si les tueurs allaient faire cela plus loin - que l'idée de créer BlueVoice est venue à Hardy Jones. "Aujourd'hui, déclare-t-il, " l'Internet décuple encore l'information et nous permet d'être plus efficaces encore contre les maltraitances infligées aux mammifères marins dans tous les océans".Son film "Si  les dauphins pouvaient parler" présenté par l'acteur Michael Douglas, a suscité l'enthousiasme de nombre d'organismes dévolus à la défense de l'environnement. Pour sa part, la firme Heinz a déclaré qu'elle n'accepterait plus de commercialiser du thon dont la capture aurait pu provoquer la mort de milliers de dauphins.. .Spécialisé dans l'environnement marin, BlueVoice dispose de centaines d'heures de film produites par Hardy Jones et Julia Whitty et disponibles sur simple demande..

    Tourisme et boucherie, même combat

    Chaque année, sous la pression du Moratoire imposé en 1982 par la Commission Baleinière Internationale, et suite à l'interdiction par la CITES de commercialiser des produits d'origine baleinière, le Japon éprouve de plus grandes difficultés pour répondre aux demandes de ses restaurateurs. La viande de cétacé reste encore un mets fort prisé dans ce pays et la demande en est importante, malgré le grave niveau de toxicité de cet aliment et de l'opposition courageuse d'une poignée d'activistes japonais. Que ce soit lors de chasses au harpon « froid » menées au large ou lors de chasses au rabattage (drive-hunt) conduites le long des côtes, les pêcheurs japonais massacrent plus de vingt mille cétacés par an (dauphins, marsouins de Dall, pseudorques, orques, etc.) et ce, d'une manière extrêmement cruelle. En 20 ans, le Japon a ainsi éliminé de ses eaux plus de quatre cent mille petits cétacés, à l'heure où la vie de ceux-ci est déjà gravement menacée par les prises accidentelles en filets dérivants, la famine et la pollution.

     

     

    Par ailleurs, détournant l'intérêt spontané des êtres humains à l'égard des dauphins à des fins mercantiles, l'industrie des delphinariums s'est révélée extrêmement rentable sur le plan touristique et a connu un boom énorme ces dernières années. Partout, dans les hauts lieux de vacances, de nouveaux bassins sont construits pour accueillir des cohortes de dauphins, d'orques ou de bélougas, rapidement morts et vite remplacés. En d'autres lieux, sur d'autres plages, ce sont des "petting pools" que l'on bâtit par dizaines à l'usage des touristes pressés. Pour une poignée de dollars, la rencontre avec l'animal est garantie sur facture et la photo souvent offerte avec le prix du billet. A ce jour, les pays les plus demandeurs sont la Corée, le Japon, la Chine, Taiwan, la Thaïlande, Hong Kong, la Polynésie Française, le Mexique et les Etats-Unis, notamment. A lui seul, compte tenu des décès incessants qui y surviennent, le Delphinarium géant de Nagoya (Japon) représente l'un des plus gros importateurs de cétacés captif au monde. La plupart des visiteurs qui nagent avec ces dauphins

    si souriants ou apprécient leurs cabrioles au travers des cerceaux ignorent évidemment la provenance exacte de ces animaux. 

     

    Les premiers massacres

    Afin d'alimenter le marché de la viande de baleine en produits de substitution et de répondre aux demandes en captifs frais, une première chasse au rabattage eut lieu à Iki en 1979. Des centaines de dauphins furent égorgés sur une plage spongieuse de sang. 

    L'année suivante,  un autre massacre, comprenant cette fois des pseudorques parmi les victimes. La scène fut filmée par des caméras indiscrètes et enfin, l'information circula et fit scandale au niveau international. 

    Tout s'arrête jusque en 1987, date à laquelle le Marine World Africa (USA) passe à son tour commande de dauphins et de pseudorques. Les prix offerts sont plus élevés et aussitôt, une nouvelle chasse est menée. Quatre-vingt dauphins sont hissés vers la plage. Quinze sont mis de côté pour le delphinarium américain, tandis qu'à quelque mètres, les autres agonisent sous le soleil en se vidant de leur sang, parfois écorchés vifs....

    Depuis 87, la machine s'est emballée et de nouveaux massacres ont eu lieu à Ito, puis à Iki en 1993, à Futo en 1996, à Taiji en 1999 et ce ne sont là que les chasses connues. Les pêcheurs ont appris à se montrer discrets.

     

     

     

    L'horreur filmée à Port Futo

    Pourtant, la pêche menée au port de Futo, dans la péninsule d'Izu, a pu être filmée en cachette par l'association japonaise IKAN. Ces images furent montrées à la Conférence de la CITES de juin 2000 à Adélaïde : les délégués japonais, blêmes de honte, durent quitter la salle. La cassette vidéo , aujourd'hui disponible sur simple demande, nous permet de reconstituer les étapes de cette boucherie atroce et d'imaginer comment elle se répète chaque année, sur plusieurs plages japonaises....  

    Les pêcheurs partent en mer. Une bonne centaine de dauphins sont repérés, isolés, rassemblés, poussés par des filets vers les rives d'une petite baie peu profonde. Une quinzaine d'hommes, équipés de combinaison de plongée et de tubas, repèrent les spécimens destinés aux deux principaux clients du jour, à savoir les delphinariums Izu-Mito Sea Paradise et Keikyu Aburatsubo Marine Park. 

    Ils poussent les dauphins choisis - le plus souvent, des mères et leur enfant - vers des enclos à part non loin de là, afin de les mettre à l'abri et de les livrer plus tard à leurs commanditaires. Avant cela, les nouveaux captifs, baignant dans le sang de leurs compagnons proches, devront subir une «désensibilisation» (habituation au poisson mort et à la présence de l'homme, premiers dressages,  etc. ) dont on a pu prendre également quelques images.

    Quant aux autres dauphins, ils se tiennent toujours entassés dans leur nasse le long de la plage. On les y laisse jusqu'au lendemain, 14 octobre 1999 et là, l'Enfer commence... Les cétacés sont attachés par la queue à un câble et traînés à toute vitesse sur le sable brûlant. Des tas de corps gris empilés se forment, des alignements de dauphins allongés, couverts de poussière, peau écorchée par les cailloux. Mais toujours bien vivants, hélas, car parfois, on les voit se redresser par spasmes, les yeux fous, en piaulant leur terreur puis retombant, épuisés.  

    Parfois, c'est par grappes entières, à l'aide d'un camion ou d'une grue, que l'on tire les dauphins vers la terre. 

    Beaucoup sont égorgés. Ils meurent lentement, la carotide crachant de grands jets de sang sur le pêcheur qui s'éloigne, impassible. D'autres ont le cœur ou le flanc percé avec une sorte de pelle-épieu, qui les fait se tordre de souffrance. Une fois, deux fois, le pêcheur frappe puis, sans se soucier si sa victime est morte ou non, il se dirige vers d'autres corps étendus, frémissants, qui le voient venir sans pouvoir rien faire... 

    D'autres dauphins semblent oubliés : laissés sous le soleil, ils s'étouffent lentement sous leur propre poids. Un pêcheur passe et marche sur un alignement de ces corps : l'un des cadavres se cabre sous la botte. Cette pauvre chose vit encore ! Certaines images nous montre des cinéastes et activistes présents sur place, tentant de convaincre l'un des pêcheurs. A côté d'eux, un dauphin agonise, sans blessure, juste échoué sur la terre. "Qu'on lui donne au moins  le coup de grâce !" semble plaider l'un de ces témoins. Rien à faire. Pas question de perdre son temps. Le dauphin mourra là, dans quelques heures peut-être....Pendant ce temps, marchant dans l'eau sanglante à mi-cuisse, un homme en tenue de plongeur continue le sale travail. La mer est agitée comme en pleine tempête par les coups de caudale des dauphins pris au piège. Des gerbes d'écume rougeoyante s'élèvent. Le tueur passe nonchalamment parmi ces êtres paniqués et il égorge, il plante le pieu, sans cesse. Parfois il s'écarte pour vérifier le bon état de sa combinaison, puis il repart, tuant au hasard, sabrant dans  le tas comme on fauche les orties....

    Plus loin,  maintenus sous un filet expressément enfoncé dans l'eau, d'autres dauphins se noient lentement.

    Il leur faudra, à eux aussi, un long moment pour mourir...

    Le bilan de cette opération : cent dauphins capturés et ramenés vers la plage, soixante-neuf massacrés et vendus en boucherie, six conservés vivants pour les delphinariums. 

    Les chasses continuent

    Du 29 mars au 6 avril 2001, Hardy Jones, le Directeur de l'organisation Blue Voice a pu visiter plusieurs villages sur la côte du Japon, dont les habitants sont sinistrement connus pour ces terribles "pêches au rabattage" (drive-hunt). Lors de cette mission d'observation, Hardy Jones était accompagné par Sakae Fujiwara, un environnementaliste local et par une journaliste du "Sunday Mail", Annabel Heseltine. Le voyage était soutenu et financé par les organisations suivantes : In Defense of Animals, Whale and Dolphin Conservation Society et Cetacean Society International. L'association japonaise ELSA Nature Conservancy assurait l'accueil de la délégation. 

    Hardy Jones, qui travaille à lutter contre les massacres de dauphins au Japon depuis près de vingt ans, publie donc aujourd'hui un rapport complet en anglais sur la situation. Ce document prouve non seulement de façon irréfutable la connexion entre les pêches dites "drive-hunt" telles que menées à Iki ou Futo Port et la florissante Industrie américaine des Delphinariums mais il révèle aussi à quel point le malaise ressenti par les pêcheurs sous la pression des protestations internationales est important. Les massacres ont désormais lieu la nuit, au large, mais ne s'interrompent pas pour autant. 

    "La population japonaise est bien entendu hors de cause dans cette affaire" insiste Hardy Jones, "ce ne sont que quelques groupes financiers qui entretiennent ce commerce très profitable, à la demande expresse de firmes étrangères et avec l'accord de plus hautes autorités du pays".  Sur place, que ce soit à Taiji, Ito, Futo ou Iki, Hardy Jones a pu en effet observer en de nombreux endroits de véritables "entrepôts à dauphins", sorte d'enclos grillagés montés à la va-vite dans un recoin discret du port. Les quelques captifs qui marinent dans ces eaux sales sont les survivants d'une précédente boucherie. Retirés de l'eau lors du massacre, jetés dans un camion puis stockés dans ces zones d'attente, ils seront finalement vendus à quelque intermédiaire véreux venu estimer leur valeur.

    Un dauphin vaut aujourd'hui quelques trois mille dollars mais le prix peut varier en fonction de la qualité et surtout des chances de survie à long terme de cette "marchandise".

     

     

     

    CBI et delphinariums

    On comprend mieux à la lumière des horreurs précédemment décrites,

    comment les problématiques de la conservation

    et de la captivité sont liées.

    A supposer que les débats prochains de la Commission baleinière aboutissent de manière favorable, ce qui n'est pas garanti, baleines et cachalots resteront à tout le moins protégés. De plus en plus de dauphins constitueront alors une source de remplacement. Dans la foulée, les delphinariums continueront allégrement à souffler sur les braises de ce nouveau marché et à en tirer profit.

    L'Europe s'honorerait donc à interdire dans un premier temps tous les delphinariums présents sur son territoire, car leur existence encourage les autres nations à pratiquer ce type de confinement d'êtres libres et conscients, présenté trop souvent comme utile à la "science"

    et à la "pédagogie".

    Souhaitons par ailleurs que la Belgique rejoigne enfin les rangs des pays membres de la Commission Baleinière Internationale et qu'elle y réclame haut et fort, comme elle sait si bien le faire pour d'autres dossiers chauds, une protection globale de TOUS les cétacés, mysticètes ou odontocètes. 

     

     

     

    Pour en savoir plus

    Vidéos, Photos et Rapport complet disponible sur le site de Blue Voice 

    http://bluevoice.org/sections/dolphins/save.shtml

    Vidéos, Photos et Rapport complet

    disponible sur le site japonais d'IKAN

    http://homepage1.nifty.com/IKAN/eng/protection/dolphin_hunting/futo.html

    Pour protester auprès des autorités japonaises:

    A l'Ambassade du Japon en Belgique 

    Kunstlaan 58, 

    Avenue des Arts 58, 

    1000 Brussels

    Belgium

    à l'Ambassade du Japon en France

    Chancellerie et Service Consulaire

    7, avenue Hoche 

    75008 Paris

    France

    Ambassador: Koïchiro Matsuura

    The Office of the Prime Minister

    P.O. Box 8001 dep.

    (NO-)0030 Oslo

    Telephone: +47 22 24 90 90

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