• Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

     

    Sainte-Suzanne est une commune française, située dans le département de la Mayenne et la région Pays de la Loire.
    Les habitants de Sainte-Suzanne sont les Suzannais.

    <script type=text/javascript> //<![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } //]]> </script>

    Héraldique

    Les armes de Sainte-Suzanne portent en écartelé les armes des quatre principales familles qui ont fait l'histoire de la cité [1]

    • Blasonnement : Écartelé, au 1er de France à la bordure de gueules chargée de 16 besants d'argent (famille d'Alençon), au 2e chevronné d'or et de gueules de 8 pièces (famille Hubert de Beaumont), au 3e d'hermines à 3 quintefeuilles de gueules (Ambroise de Loré), au 4e de gueules au lévrier d'argent colleté de France (famille Fouquet de la Varenne).


    Étymologie

    Le château, construit sur un promontoire rocheux près d'un bourg dont l'église portait jadis le nom de Saint-Jean de Hautefeuilles, tient son nom, au moment de la christianisation, de Sainte Suzanne (Sancta Suzanna, Sanctae Suzannae oppidum), vierge et martyre (fête le 11 août). Des reliques de la Sainte auraient été rapportées au Xe siècle. Quand on réunit le bourg au château, la nouvelle enceinte, comportant château et cité, prit le nom unique de Sainte-Suzanne. Ce fut la première cité de France à prendre ce nom.[2]

    Selon d'autres hypothèses, d'ailleurs pas nécessairement incompatibles, le nom de Suzanne pourrait provenir des origines celtiques de la cité, qui ont laissé leur empreinte à travers un mur vitrifié (env. IXe-Ve siècle avant notre ère). Ainsi, plusieurs noms propres dans la proche région sont issus de cette période : le nom de la rivière l'Erve, vient du gaulois erva ou arva (eau courante), le site du Tertre Ganne, signifie mont boisé, Mézangers vient du celtique mer-an-guer, plaine près de la ville, ou Évron, er-vron, le pays des collines. Comme ana signifie déesse et suze, source (cf. La Suze-sur-Sarthe), suze-ana pourrait ainsi signifier la déesse de la source, la cité intra-muros comptant 21 puits.

    Géologie

    La commune est située sur le flanc nord du synclinal de Laval. Aux schistes précambriens (moulin de la Liaudière) succèdent les poudingues pourprés, base du Cambrien, puis les schistes et calcaires magnésiens (autrefois exploités au Moulin des Erves). Une vaste région schisteuse, également cambrienne, s'étend jusqu'à la crête gréseuse de Sainte-Suzanne. Toute cette partie de la commune, profondément creusée à l'époque éocène, a été remplie par des argiles qui couronnent des grès à Sabalite] (dont les blocs abondent sur le plateau de la Touche-Piquet).

    La crête des grès de Sainte-Suzanne, dans laquelle l'Erve s'est déblayé un étroit et pittoresque passage, traverse la cité de l'est à l'ouest, et, venant du Mont-noir (222 m), se dirige en s'abaissant graduellement vers la limite occidentale de la commune (121 m).

    Le grès rose extrait à Sainte-Suzanne
    Le grès rose extrait à Sainte-Suzanne

    Au sud du bourg, sur le flanc méridional de la commune, on retrouve une série identique à celle des Coëvrons (schistes pétrosilicifiés, brèches éruptives et orthophyres), formant une traînée intercalée au milieu des couches cambriennes, et qui s'observe également sur la rive droite de l'Erve, à la Pierre, à Beausoleil et au Coq-hardi. À ces couches succèdent, toujours en suivant la ligne régulière, des grès feldspathiques, ,et enfin des grès ferrugineux en plaquettes avec Lingulella Nicholsoni (= grès de Blandouet). Cette dernière assise, qui occupe le sommet du Cambrien, se montre bien développée dans le bois de Thorigné.

    Géographie

    La cité médiévale de Sainte-Suzanne, surnommée "la perle du Maine", se situe au sommet d'une colline isolée dominant d'un à-pic de 70 mètres la rive droite de l'Erve. Sa situation géographique a longtemps été stratégique au cœur du Maine car elle se situe en lisière des monts des Coëvrons (Alpes mancelles, extrémité sud de la Normandie) et de la plaine d'Anjou, sur laquelle s'ouvre un très vaste panorama. La Cité est bâtie à 170 mètres d'altitude mais son point culminant se situe au Mont-Noir (222 m).

    Au nord, l'on découvre les collines des Coëvrons, depuis la carrière de la Kabylie (Voutré) jusqu'à Bais, par le bois de Crun, le Mont Rochard (350 m) et le Montaigu (330 m). Dans la même direction, les hauteurs du Haut-Rocher (141 m), de Changemer (135 m), puis, à l'ouest, le Montis (130 m) qui séparent le bassin de l'Erve de celui de la Jouanne.

    Ces hauteurs, en direction d'Évron, sont séparées de la Cité par une partie basse, une sorte de vaste cuvette qui formait autrefois le Grand étang, aujourd'hui asséché. À l'est, le site du Tertre Ganne, d'où l'on jouit d'un magnifique panorama sur la cité médiévale. Si l'on regarde vers le sud-est, l'on découvre la forêt de la Charnie qui sépare Sainte-Suzanne de ses voisines Blandouet, Thorigné-en-Charnie, Saint-Jean-sur-Erve. Vers Chammes et Vaiges, s'ouvre une immense plaine, au sud vers la Mayenne angevine, à l'ouest vers Laval et les confins de la Bretagne.
    Sainte-Suzanne est à 7 km d'Évron, 16 km de Montsûrs, 21 km de Sillé-le-Guillaume, 28 km de Conlie, 32 km de Sablé-sur-Sarthe, 35 km de Laval, 48 km du Mans et 88 km d'Angers.

    La grande maison de l'Aubépin, quartier de La Rivière à Sainte-Suzanne
    La grande maison de l'Aubépin, quartier de La Rivière à Sainte-Suzanne

    Plusieurs quartiers et hameaux composent la commune de Sainte-Suzanne : la Cité intra-muros, la Taconnière, les Grands-jardins, la Boulière, la Croix-couverte, la Rivière, le Gohard, le Pont-neuf, le Grand-moulin, la Madeleine et les Granges.

    Les communes limitrophes sont Blandouet, Chammes, Châtres-la-Forêt, Évron, Torcé-Viviers-en-Charnie et Voutré.

    Petite cité de caractère, Station verte de vacances, Sainte-Suzanne appartient au Pays d'Art et d'Histoire Coëvrons-Mayenne.

    Le bocage, la faune, la flore [modifier]

    Dans la région d'Erve et Charnie, les prairies couvrent de grandes superficies. Entre les parcelles se dressent des haies qui forment un maillage : c'est le bocage, qui s'étend au nord de Sainte-Suzanne jusqu'aux collines des Coëvrons (hauteurs supérieures à 290 m.).

    Ces reliefs sont couverts d'un manteau bocager. Le paysage représente encore les caractères essentiels des vieux bocages créés au Moyen Âge (essentiellement à partir du Xe siècle - XIe siècle) et nés de défrichements individuels. Chaque défricheur entourait la nouvelle parcelle conquise d'un fossé et d'un talus sur lequel il plantait une haie, en signe d'appropriation. Il donnait le plus souvent son nom à sa maison établie en un point isolé (ex. : Hamard > La Hamardière). Aujourd'hui, les haies n'entourent plus toutes les parcelles, agrandies pour permettre le travail à la machine, mais sont souvent conservées celles qui bordent les routes et chemins et celles perpendiculaires à la pente. Jusqu'au XIXe siècle, les labours dominaient; ils ont fait place aujourd'hui à un des pôles herbagers où sont élevés des bovins de la race Maine-Anjou et des Charolaises. Après une phase où l'herbe a tenu beaucoup de place, les labours regagnent les terrains sur les replats, pour des raisons économiques. Les prés occupent toujours les pentes et le fond de la vallée de l'Erve.

    Malgré la pauvreté floristique de la strate herbacée des champs, les haies constituent un milieu protecteur et nourricier pour de nombreuses espèces animales. On y retrouve aussi bien des oiseaux propres aux habitats ouverts ([[Alouette (oiseau)|alouettes], bruants...) que des oiseaux des milieux forestiers plus fermés (pie, mésanges...). De plus, certains prédateurs (faucons crécerelles, Buses variables...) viennent chasser sur ces terrains riches en petits vertébrés. Les insectes, nombreux eux aussi, attirent les hirondelles, les gobe-mouches... C'est dans ce type de zone de contact écologique que la flore et la faune atteignent leur plus grande diversité.

    Principales plantes constituant les haies bocagères à Sainte-Suzanne :

    Transports

    Sainte-Suzanne est principalement traversée par trois routes départementales :

    Par ailleurs, la D143 permet de relier Sainte-Suzanne à Assé-le-Bérenger, Saint-Georges-sur-Erve et Vimarcé, la D 156 à Saint-Denis-d'Orques et Brûlon (D49 en Sarthe), et la D560 à Saint-Léger.

    La commune est située à 8 km de la RD 57 (ex RN 157) Orléans - Rennes (Carrefour des Poteaux).

    Sainte-Suzanne, dont le site est signalé sur l'autoroute, se trouve à 18 km de l'échangeur   01  (Joué-en-Charnie), et à 13,5 km de l'échangeur   02  (Vaiges) de l'autoroute A81 (E50) (Le Mans - La Gravelle).

    Sainte-Suzanne est à 7 km de la gare d'Évron sur la ligne Le Mans - Laval   Pays de la Loire.

    Gares TGV à Laval (34 km) et au Mans (48 km).

    Histoire

    Article détaillé : Histoire de Sainte-Suzanne.
    Article détaillé : comté du Maine.



    [ Dérouler ]
    Autres personnages historiques et personnalités
    Panoramique de Sainte-Suzanne, côté nord
    Panoramique de Sainte-Suzanne, côté nord

    L'administration municipale

    Les maires de Sainte-Suzanne depuis la Révolution française

    La première municipalité

    Avant l'époque révolutionnaire, peu de paroisses avaient un Hôtel de ville. Généralement, les réunions de la communauté des habitants se faisaient dans l'église ou devant la porte de l'église; les curés tenaient les registres de l'État-civil. Cependant, dès 1770, la ville de Sainte-Suzanne organise, d'après les édits de 1764 et 1765, une administration municipale sous le nom d' Hôtel de ville, composée de deux échevins, trois conseillers, cinq notables, un procureur du roi et un greffier. Les habitants des faubourgs de la Taconnière, de la Rivière et les autres habitants, réunis séparément, nomment alors 3 délégués par quartier, lesquels élisent 6 notables, 1 ecclésiastique[4], 2 officiers, 1 bourgeois, 1 marchand, 1 laboureur ou artisan. Ceux-ci procédent enfin à l'élection des échevins, qui sont : Jacques Aveneau, contrôleur du grenier à sel, et Olivier Provost, avocat. Ils ont pour conseillers : René Coutelle de la Houssaye, président du grenier à sel depuis 1764, Jean-Baptiste Coignard, seigneur du Tertre, et René Provost de Brée, négociant. Le syndic est François Coutelle, et le greffier Antoine de Bert.

    Les maires depuis la Révolution

    Liste des maires successifs
    Période Identité Parti Qualité
    1791 Jacques Aveneau - avocat au baillage
    Mai 1794 (Floréal an II) Charles Coutelle de la Tremblaye - médecin, venu de Brûlon à Sainte-Suzanne
    1798 (an V) Gervais Pômier - notaire
    Juin 1800 (Prairial an VIII) Janvier 1803 Julien François Ollivier - notaire, chargé des affaires des propriétaires du château Antoine-César de Choiseul-Praslin puis Ange Hyacinthe Maxence, baron de Damas
    Janvier 1803 Avril 1807 Charles Coutelle de la Tremblaye - médecin, propriétaire du manoir
    Avril 1807 1813 Jacques Charles Pavet - commissaire du peuple à la fin de la Révolution
    1813 1815 Édouard de Lespinasse (ou Delespinasse) - régisseur du château, gendre de Julien François Ollivier; "homme d'affaires" d'Antoine-César de Choiseul-Praslin pour les affaires extra-notariales relatives au château
    Juillet 1815 1818 Jacques Marquis-Ducastel[5] - écuyer, ancien officier de la Maison du roi
    Mai 1818 Janvier 1826 Charles Coutelle de La Houssaye - commandant de la place de Sainte-Suzanne en 1799; propriétaire du manoir
    Janvier 1826 Août 1830 Pierre Bourdin - marchand d'étoffes, drapier
    Septembre 1830 Mai 1834 Hippolyte Messant - percepteur
    Mai 1834 Mars 1835 Julien Pierre Ollivier - notaire, Maire délégué, propriétaire du manoir de la Butte-Verte
    Mars 1835 Février 1840 Jean Jacques Dumoulinet - propriétaire "La Fousillère"
    Février 1840 Décembre 1842 Raphaël Jouennault - propriétaire
    Décembre 1842 mai 1848 Jean Jacques Dumoulinet - propriétaire "La Fousillère"
    Mai 1848 Octobre 1848 Michel Pômier - Maire délégué
    Octobre 1848 Février 1860 Raphaël Jouennault - propriétaire
    Février 1860 Avril 1860 Michel Pômier - Maire délégué
    Avril 1860 Février 1865 Julien Pierre Ollivier - notaire
    Février 1865 Mars 1878 Théodore-Jean Couléard-Julliettrie - propriétaire "le Champatoire"
    Avril 1878 Juillet 1879 Auguste Lebail - médecin
    Juillet 1879 Février 1881 René Dodier - ferblantier, Maire délégué
    Mars 1881 Décembre 1883 René Dodier - ferblantier
    Mai 1884 Juin 1897 Charles Nory - médecin
    Juillet 1897 Octobre 1904 Louis Maline - clerc de notaire, greffier du juge de paix
    Novembre 1904 Août 1905 Alexandre Ledeul - sabotier
    Octobre 1905 Janvier 1911 Célestin Lecomte - médecin
    Février 1911 Juillet 1911 Louis Lecomte - Délég. spéciale
    Juillet 1911 Mai 1918 Édouard Perrot - propriétaire du manoir de la Butte-Verte
    Mai 1918 Décembre 1919 Joseph Mauny - meunier au Pont-neuf, Maire délégué
    Décembre 1919 Février 1923 Auguste Le Baillif - pharmacien
    Février 1923 Mai 1925 Joseph Mauny - meunier au Pont-neuf, Maire délégué
    Mai 1925 Mars 1943 Pierre Morteveille - hôtelier au Lion d'Or puis fermier à Clairbois
    Avril 1943 Octobre 1944 Georges Barrier - quincailler
    Novembre 1944 Février 1955 Joseph Létard - garagiste
    Octobre 1955 Mars 1965 Roger Lépine - menuisier
    Mars 1965 Mars 1977 Louis Morteveille - administrateur civil
    Mars 1977 Août 1981 André Davoust - entrepreneur de maçonnerie
    Août 1981 Mars 1987 Paul Dézélé - agriculteur
    Mars 1987 Juin 1995 Christiane Ligot -
    Juin 1995 Mars 2001 Pierre Demeulemeester -
    Mars 2001 Mars 2008 Daniel Dutertre -
    Mars 2008 -
    Toutes les données ne sont pas encore connues.

    Démographie

    Évolution démographique
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 302 1 412 1 417 1 483 1 619 1 722 1 749 1 754 1 766
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 811 1 793 1 741 1 666 1 631 1 610 1 542 1 504 1 448
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 387 1 372 1 328 1 090 1 059 1 023 956 973 937
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
    901 888 853 925 935 1 020 960 - -
    Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

    Graphique de l'évolution de la population 1794-1999


    Tableau démographique du XIXe siècle

    Tableau démographique du XXe siècle

    Jumelage

    Sulzheim (Allemagne) depuis 1967, voir Sulzheim (de).

    blason de Sulzheim


    Le jumelage du canton de Sainte-Suzanne / Communauté de Communes d'Erve et Charnie, avec Sulzheim ( Rhénanie-Palatinat) a été initié en 1966 par Victor Julien conseiller général, maire de Thorigné-en-Charnie, et Adam Becker, dans la famille duquel Victor Julien avait été prisonnier de guerre de 1940 à 1945. Le premier groupe de jeunes Allemands fut reçu à Sainte-Suzanne du 15 juillet au 23 juillet 1967, et l'acte officiel de jumelage fut signé à Sulzheim le 14 juillet 1968. Près de cinquante échanges et manifestations officielles ont eu lieu depuis. Ce fut premier jumelage franco-allemand de villages en Mayenne.

    Jumelage depuis 1967
    Jumelage depuis 1967

    Vie et services [modifier]

    Services municipaux ou scolaires

      • Mairie
      • Office de tourisme
      • Bibliothèque
      • Camping Caravaning ** Les sports
      • Mini-golf, aires de jeux pour enfants
      • Piscine 2 bassins extérieurs, chauffés
      • Salle socio-culturelle Maxime-Létard
      • Salle des fêtes
      • Terrain de sports (football, tennis)
      • Écoles : Perrine Dugué (publique), Sainte-Marie (privée)
      • Cantine et garderie (en période scolaire) ; relais assistantes maternelles
      • Foyer-logement.

    Autres services

      • Centre de secours ; Gendarmerie
      • Communauté de communes d'Erve et Charnie (CCEC) : portage de repas à domicile
      • Services de santé : maison médicale ; pharmacie ; cabinet d'infirmières ; kinésithérapeute ; vente et location de matériel médical
      • Services de transports : Ambulances, taxis, VSL, minibus
      • Services tertiaires : La Poste ; Office notarial.

    Commerce et artisanat

    • Tourisme

    Sainte-Suzanne est labellisée Station verte de vacances. Le site des stations vertes

    Artisanat souvenirs La Grange des artisans; Bar-tabac-brasserie La Rivière; Café-tabac Les tours (borne internet); Costumes d'époque Historiae, location, couture; Créperie, salon de thé, bar La halte médiévale; Hôtel-restaurant bar Beauséjour; Village de vacances VAL-VVF.

    • Alimentation

    Boulangerie-pâtisserie ; boucherie-charcuterie-traiteur ; supérette

    • Autres commerçants et artisans

    Coiffeur mixte ; construction, agencement, maisons bois, électricité menuiserie plomberie charpente couverture ; électricien ; maçon ; carreleur ; plâtrier ; restauration vieilles demeures, maçonnerie à l'ancienne ; paysagiste, entretien espaces verts ; matelassier sommiers fauteuils canapés ; vente par correspondance sur catalogue général, soldeur ; communication permanente & événementielle ; imprimerie spécialisée ; transports ; élevage canin...

    Vie associative

    • Aide à domicile en milieu rural ADMR Communauté de communes d'Erve et Charnie
    • Amis de Sainte-Suzanne (association des), Musée de l'auditoire Jean Bellanger
    • Anciens combattants et Anciens d'AFN (amicale des) Eugène Helbourg
    • Arc de la Charnie (compagnie d') Gilles Longuèvre
    • Comice agricole Jean-Luc Lemaître
    • Couleurs d'outre-mer Gérard Porquet
    • Environnement et patrimoine d'Erve et Charnie (association de défense de l') ADEPEC Yvette Herbric
    • Ferme équestre La licorne: Roland Morteveille
    • Fil d'argent (amicale du) Bernadette Caballero
    • Football club de la Charnie Jean-Marie Brillet
    • Francs-tireurs suzannais (les) club sportif Alain Bariller
    • GDSB Michel Mézerette
    • Informatique et numérique (atelier) Bernard Huchedé
    • Musique (société de -), Harmonie de Sainte-Suzanne Rémy Barrier
    • Musiques pour tous Jean Foison
    • OGEC Véronique Simon
    • Parents d'élèves école Perrine Dugué (association des) Nathalie Arethuse
    • Parents d'élèves école Sainte Marie (association des) Claudie Lemaître
    • Pêche (société de -), La truite suzannaise: Roger Plot
    • Sapeurs-Pompiers (amicale des -) Pascal Guerveno
    • Spectacle et Chevalerie Gilles Raab
    • Team Asphalt Racing (sports mécaniques) Maryan Landais
    • Tourisme (office de -), Syndicat d'initiative OTSI : Ginette Bouat

    Lieux et monuments intra- et extra-muros

    Dolmen des Erves


     

    Château


    La Porte de fer (Poterne)


    Porte de Fer, anct Porte de la Herse
    Porte de Fer, anct Porte de la Herse
    Portail du manoir de la Butte-verte, 1784
    Portail du manoir de la Butte-verte, 1784
    L'ancienne place du pilori, emplacement des anciennes halles, la Mairie (1884) et l'entrée du manoir de la Butte-verte
    L'ancienne place du pilori, emplacement des anciennes halles, la Mairie (1884) et l'entrée du manoir de la Butte-verte
    Château de Sainte-Suzanne
    Château de Sainte-Suzanne
    Musée de Sainte-Suzanne
    Musée de Sainte-Suzanne
    Donjon du Centre médiéval de Clairbois
    Donjon du Centre médiéval de Clairbois

    Vestiges celtes et romains

    • Le Dolmen des Erves, qui est le plus ancien monument de la Mayenne (~ -3500 av. J.C.).
    • Les fortifications de la ville, dont une partie, qui repose sur une base de pierres vitrifiées, serait d'origine celtique.
    • Une voie pavée ancienne (peut-être gallo-romaine), au pied du Tertre Ganne, aboutissant à l'ancien gué du Pont-neuf.[8]

    La cité de Sainte-Suzanne

    Le donjon, barlong, est le monument le plus ancien de la cité (~ première moitié du XIe siècle).

    Le Camp de Beugy ou Camp des Anglais datant du XIe siècle constitue le camp des troupes de Guillaume le Conquérant lors du siège de la cité (1083-1086) contre Hubert II de Beaumont.

    La forteresse et la cité médiévale sont composées de remparts du XIIe XVe siècles, d'une porte du Guichet (ou Porte-du-Pont), d'une porte de Fer, d'une tour du Guet, d'une Porte-murée, d'une tour Sud, d'une tour d'orientation et d'une tour Nord. La porte d'entrée du château est défendue par deux tours : la tour farinière XIIIe siècle, et la tour poudrière, partiellement détruite lors des guerres de religion). L'ancien pont-levis était présent à l'entrée principale du château avant 1772. Les tours rondes, médiévales, et tours carrées, sont adaptées aux armes à feu, et datent de la fin du XVIe siècle.[9]

    L'ancien statut de ville royale de Sainte-Suzanne se remarque encore de nos jours par la présence de bâtisses de caractère dans la partie intra-muros de la cité (ancienne résidence des Procureurs du Roi début XVIe siècle, grenier à sel XVIIIe siècle, ancienne carterie (fabrique de cartes à jouer), ancien auditoire de Justice (façade XVIIIe siècle), deux manoirs et nombreuses maisons anciennes du XVe siècle au XIXe siècle).

    Le château de Sainte-Suzanne

    Le Château de Sainte-Suzanne est un château du XVIIe siècle inscrit au monument historique. Il a été construit entre 1608 et 1610-1613 par Guillaume Fouquet de la Varenne. Il est aujourd'hui la propriété du conseil général de la Mayenne. Le château possède des fenêtres à meneaux, des frontons, une superposition des ordres (dorique en bas, ionique au premier étage, corinthien en haut) ; Son style annonce le classicisme : sobriété du décor, atténuée par un perron en loggia menant à l'escalier intérieur. Le château contient une ancienne boulangerie et une ancienne écurie, devenue ensuite bergerie.

    Patrimoine religieux

    • L'église de Sainte-Suzanne est de culte catholique. Sainte-Suzanne, comme les communes environnantes, appartient aujourd'hui à la communauté paroissiale de Saint-Barnabé-en-Charnie. [1]
    • Croix-Boissée et chapelle de la Madeleine au cimetière ; chapelle saint Eutrope à la Croix-couverte ; statue de le Vierge de Beausoleil dite la Vierge des bois en forêt de Charnie.

    Patrimoine culturel

    • Le musée de l'auditoire[10] (Mille ans de l'histoire de Sainte-Suzanne et du Pays d'Erve et Charnie) avec exposition de la plus ancienne armure de France (1410-1420), contemporaine d'Ambroise de Loré
    • La Ferté-Clairbois, doMaine du Chevalier[11] est un centre culturel et médiéval du Maine. La Ferté y est reconstituée, avec donjon et pont-levis.

    Autres monuments et sites

    • La Mairie (1884), est bâtie là où s'élevaient les anciennes Halles (mentionnées en 1528), dont l'emplacement est matérialisé au sol place Hubert II. De même que les combles des halles abritèrent l'auditoire de justice, le premier étage de la mairie abritait le juge de paix et la salle du tribunal. Des éléments de la charpente des halles ont été réutilisés pour construire celle de la mairie actuelle. La cloche qui surmonte le toit porte l'inscription : L'oreille est attentive / À ma voix claire et nette / En dépit des bourdons / Qui m'appellent clochette.
    • Le site du Tertre Ganne, (accès par le CD 9, route de Torcé-Viviers-en-Charnie), offre des traces de retranchements anciens (siège du XVe siècle) et une vision panoramique sur la cité et le château.
    • Nombreux anciens moulins sur la rivière l'Erve : à blé, à foulon, à papier, à tan. Faubourg de La Rivière.
    • La Promenade de la Poterne donne un panorama sur les Coëvrons, la vallée de l'Erve, la forêt de la Charnie et la plaine d'Anjou.

    À voir en pays d'Erve et Charnie, au cœur des Coëvrons

    L'Erve aux "Choiseaux" et la Charnie à Sainte-Suzanne


    Le site du Tertre Ganne


    Patrimoine naturel

    Article détaillé : Grottes de Saulges.
    Article détaillé : Grotte Mayenne-Sciences.
    Article détaillé : Oratoire de Saint-Céneré.

    Patrimoine historique

    Pays d'Art et d'Histoire Coëvrons-Mayenne [2]

    Patrimoine religieux

    Liens externes

    Notes et références

    1. D'après Gilles Raab, 1994, La Ferté-Clairbois et Projet Blasons Wikipédia
    2. R. de Sancta Suzanna, 1076 (Cartulaire de la Couture p. 26), 1080 (Cartulaire de Saint-Vincent ch. 827); Furnum Sancte Suzanne, 1109 (Archives de la Sarthe, fonds d'Étival-en-Charnie); Decanus de Sancta Suzanna, env.1120 (Hist. de la Mayenne, pr. VII); Castrum quod Sancta Suzanna vocatur, XIIe siècle (Orderic Vital, Hist. eccl., t. III p. 200); Senescallus de Sancta Suzanna, XIIe siècle (Cartulaire de Perseigne p. 164); Vicecomes Sancte Suzanne, 1208 (Cartulaire de Vivoin p. 225); Turris in castro Sanctæ Suzannæ, 1218 (Cartulaire d'Évron); Vigeria Sancte Susanne, XIIIe siècle (Rev; du Maine, t. XLVII p. 170); Sainte Suzenne, 1312 (Bibl. nat., fr. 8736); Castrum et fortalicium Sancte Suzanne 1396 (Arch. nat. X/1a 43, f.197); Ès mètes de nostre chastellenie et terre de Sainte Susenne 1431 (P. de Cagny, p. 181).
    3. Le comté de Richmond se trouve dans le nord du Yorkshire.
    4. En septembre 1772 le curé de Sainte-Suzanne, Jean-François Marquis-Ducastel, est nommé Conseiller.
    5. Jacques-Marie Marquis, écuyer, sieur du Castel, ancien officier de la maison du roi, arrivé à Sainte-Suzanne en 1781. Frère de Jean-François Marquis-Ducastel, curé de Sainte-Suzanne de 1771 à 1785, et doyen rural d'Évron, réfugié clandestinement à la Taconnière de 1792 à 1795.
    6. source : Le Courrier de la Mayenne, 26 avril et 10 mai 2007
    7. source : Ouest-France édition La Mayenne, 11 et 18 juin 2007
    8. Une voie antique de Montsûrs, une autre de Sablé par Thorigné, sont toujours apparentes. La carte de Jaillot indique les chemins de Sillé, Le Mans, Sablé, Saulges, Évron; La Carte de Cassini, ceux du Mans, Sablé, Laval, Évron. (source : Abbé Angot, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne).
    9. L'enceinte de la ville, nous dit l'Abbé Angot, formant avec celle du château un triangle dont la base est au nord-ouest, et qui est peut-être construite sur d'anciennes fondations, date du XIVe siècle et du XVe siècle. Elle avait 800 m de circonférence et comprenait trois portes : la Porte-murée au midi, la Porte-du-pont (ou du Guichet) au nord, la Porte-de-fer à l'est, de 11 pieds de largeur sur 12 de haut avec pont-levis, herses et barbacanes. Les murs avaient 36 pieds, sans compter les meurtrières et le parapet. Il y avait 7 tours sur le côté nord-ouest, l'une de 40 m de tour à l'angle sud-ouest, l'autre à cinq pans, aussi grosse, au milieu, et les autres de 10 à 12 m de circonférence. En 1772, il ne subsistait plus que six tours dans le reste du circuit (4 carrées et 2 rondes), mais la construction du château neuf et de nombreuses maisons à côté de la Porte-murée et de la Porte-du-pont en avaient fait disparaître plusieurs. À la même date, il n'y avait presque plus trace des meurtrières et des parapets; seule la Porte-de-fer conservait sa herse suspendue. Entre la ville et le château, le mur de clôture était protégé par le donjon et appuyé de 5 tours, mais la partie voisine du château était de construction moderne et les tours avaient été supprimées. Vers 1830, on a pratiqué dans le côté nord-ouest de l'enceinte de la ville une ouverture de 40 m pour l'accès en ville des routes diverses. La ville murée, outre l'église et les halles, ne renfermait qu'une soixantaine de maisons des moins confortables, et était traversée, de la Porte-murée à la Porte-du-pont, par de misérables ruelles. Le surplus de la population se groupait au faubourg de la Taconnière et au village de la Rivière.
    10. http://www.museeauditoire.com/
    11. http://www.ferteclairbois.com/

    Sources et bibliographie

    * « Sainte-Suzanne (Mayenne) », dans Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Goupil, 1900-1910 ([détail édition])
    * Histoire de Normandie, d'Orderic Vital (1075-1142), moine copiste et historien de Saint-Évroult, BNF Gallica
    * Chronique de Charles VII, de Jean Chartier (1385-1464), texte publié en 1661 par Godefroy, BNF Gallica
    * Essais historiques et littéraires sur la ci-devant province du Maine, de P. Renouard. Le Mans : Impr. Fleuriot, 1811
    * Géographie du département de la Mayenne, du géographe Adolphe-Laurent Joanne (1813-1881), BNF Gallica
    * Bulletin de la Société d'anthropologie de Paris, 1868, BNF Gallica
    * Le Magasin pittoresque, dir. Édouard Charton (1807-1890), 1875, BNF Gallica
    * Recherches historiques sur la ville de Sainte-Suzanne, du Dr Nory. - Sillé-le-Guillaume : Impr. Veau-Bernard, 1888
    * Notice historique sur Sainte-Suzanne et son château, de M. Gérault. - Laval : Impr. Auguste Goupil, 1896
    * Les seigneurs de la baronnie de Sainte-Suzanne, du Marquis de Beauchêne. - Le Mans : Société historique et archéologique du Maine, 1906
    * Sainte-Suzanne, Son histoire et ses fortifications. - Mayenne : Éditions Régionales de l'Ouest, 1996, préface de Gérard Morteveille. Réédition de l'ouvrage de Robert Triger. - Mayenne : Société historique et archéologique du Maine, Impr. de la Manutention, 1907 (ISBN 2-85554-077-1)
    * Bulletin monumental de la Société française d'archéologie, 1907, BNF Gallica
    *Sainte-Suzanne en chansons, vieilles silhouettes, vieux airs, vieux chants, d'Amand Dagnet. - Laval : Impr. Auguste Goupil, 1929
    * Perrine Dugué, la Sainte aux ailes tricolores, 1777-1796 de l'abbé Augustin Ceuneau. - Laval : Impr.-Librairie Goupil, 1947
    * Sainte-Suzanne au XIXe siècle, de Louis Morteveille. - Laval : Impr. René Madiot, 1975.
    * Sainte-Suzanne contre Guillaume le Conquérant, BD de S. Legrand et L. Robene. - Association pour la mise en valeur de la Cité et du château de Sainte-Suzanne, 1987.
    * Sainte-Suzanne et le Pays d'Erve et Charnie, de Gérard Morteveille. - Joué-lès-Tours : Éd. Alan Sutton, 1998. - (Mémoire en images). (ISBN 2-84253-169-8)
    * Les châteaux du Moyen Âge en Mayenne, (article d'Anne Bocquet, archéologue départementale), dossier n°27 (2004) de la revue de la Société d'Histoire et d'Archéologie de la Mayenne, Impr. de la manutention, Mayenne, juin 2005 (ISSN 0243-6396)
    * Archives départementales de la Mayenne : État-civil, recensements
    * Archives municipales de Sainte-Suzanne : État-civil, Conseil municipal
    * Archives de la paroisse de Ste-Suzanne : chroniques des abbés Le Dauphin et Monguillon
    * Publications de l'Association des Amis de Sainte-Suzanne, Musée de l'auditoire :
    ** Sainte-Suzanne (Mayenne) cité médiévale, mille ans d'histoire, de Gérard et Jean-Pierre Morteveille, 1988.
    ** Moulins à Sainte-Suzanne, de Gérard Morteveille, 1995.
    ** Les Moulins à papier et les cartes à jouer à Sainte-Suzanne, de Gérard Morteveille et Hélène Cahierre, 1999.
    ** Sainte-Suzanne, cité médiévale, de la motte féodale au château de pierre, de Gérard Morteveille, 1999.
    ** L'Occupation et la libération à Sainte-Suzanne et dans les environs proches, 1940-1944, de Gérard Morteveille, 2004.
    ** L'Occupation et la libération à Sainte-Suzanne et dans le Pays d'Erve et Charnie, 1940-1944 (Supplément à l'édition 2004), de Gérard Morteveille, 2006.
    ** Sainte-Suzanne 1900-1930, de Jean-Pierre Morteveille, 2006.
    * Nombreux articles de Gérard Morteveille et Anthony Robert dans la revue "Maine découvertes" (le magazine Sarthe-Mayenne, Éditions de la Reinette, Le Mans) :
    N° spécial Guerre de Cent ans, Le Chemin des moulins de Sainte-Suzanne (2005), Le Mur vitrifié de Sainte-Suzanne (2005-2006), Perrine Dugué, la "Sainte Tricolore" (2005-2006), L'éditeur de cartes postales Gervais Pavy (2006), Les folkloristes Joseph Jouet et Fernand Bourdin (2007), Pleins feux sur Sainte-Suzanne (2007).

    Guerre de Cent Ans
    Batailles • Sièges • Chevauchées
    Souverains français et anglais • Traités de paix • Grands capitaines
    Armagnacs et Bourguignons • Jacquerie
    Guerre de Succession de Bretagne

    votre commentaire
  • Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

    Skansen est un musée de plein air ainsi qu'un parc zoologique situé sur l'île de Djurgården à Stockholm. Il a été fondé en 1891 par Artur Hazelius afin de montrer le mode de vie en Suède durant les siècles passés.

    Au XIXe siècle la Suède, comme beaucoup d'autres pays européens subit de profonds changements. Son mode de vie très rural laisse la place à une société industrialisée, laissant craindre à beaucoup de monde une perte de l'histoire des traditions et coutumes nationales. Artur Hazelius, qui avait auparavant fondé le Nordiska museet sur l'île de Djurgården près du centre de Stockholm, créé alors le premier musée de plein air au monde sur une colline voisine. Skansen faisait initialement partie du Nordiska Museet, mais est devenu indépendant en 1963. Toutefois, les différents objets situés à l'intérieur des bâtiments de Skansen appartiennent toujours au Nordiska Museet.

    Skansen regroupe environ 150 constructions provenant de toute la Suède, démontées puis remontées pièce par pièce à leur emplacement définitif, donnant une vue d'ensemble sur la vie en Suède en allant des pauvres villages fermiers aux riches demeures de la noblesse.

    Le musée présente également une réplique fidèle d'une petite ville avec les ateliers des artisans qui travaillaient le cuir, l'argent ou encore le verre. Dans le parc du musée, qui s'étend sur une surface de 300 000 m², se trouve un vaste zoo qui montre un large éventail d'animaux scandinaves ainsi que quelques espèces plus exotiques.

    Une carte postale de Skansen (1900), coloriée à la main
    Une carte postale de Skansen (1900), coloriée à la main

    Depuis 1903 la place centrale du musée est début décembre le lieu d'un marché de Noël très populaire, qui attire environ 25 000 personnes par jour.

    Liens externes


    votre commentaire
  • Gränna et ses sucres d'orge:

     


    votre commentaire
  • Gränna

    Gränna
    Chiffres concernant la localité
    Population(2000)1 2 574
    Superficie 153 ha
    Pays  Suède
    Province historique Småland
    Comté Jönköping
    Commune Jönköping
    Paroisse(s) Gränna
    Statut de ville en 1652
    Coordonnées [1]
    Coordonnées 58° 02’ 00’’ Nord
    14° 27’ 00’’ Est


    1 Source : (sv) Statistiska Centralbyrån

    Gränna est une petite ville dans la commune de Jönköping (le comté de Jönköping, la province de Småland) en Suède. Elle est située sur la rive est du grand lac Vättern face à l'île de Visingsö à laquelle elle est reliée par ferry. Le nombre d'habitants s'élève à environ 3000 personnes.

    La ville fut fondée en 1652 par le comte Per Brahe. Elle est avec Marstrand une des seules villes historiques de la Suède à ne pas être le siège d'une commune.

    Vue sur Gränna et le lac Vättern
    Vue sur Gränna et le lac Vättern

    Gränna est connue en Suède pour les polkagrisar, des bonbons à raies blanches et rouges à la menthe. Ces bonbons furent inventés par la veuve Amalia Eriksson en 1859. Les polkagrisar ainsi que la proximité de Visingsö font de Gränna une importante destination touristique.

    Sinon, le Grännois le plus célèbre est sans doute le montgolfiériste Salomon August Andrée, mort en 1897 sur l'île de Kvitøya, lors d'une tentative de rejoindre le pôle nord en montgolfière. Cette expédition peut s'étudier au musée "Museum-Andreexpedition Polarcenter", situé à Gränna.

    Liens externes

     

     

    C'est également le prénom d'un de mes chats et parfois mon pseudo sur certains forums.


    votre commentaire
  • Luciano Pavarotti (né le 12 octobre 1935, à Modène (Italie) – mort le 6 septembre 2007, à Modène), ténor classique et un des chanteurs les plus populaires, non seulement dans le monde de l'opéra, mais aussi dans les multiples genres musicaux abordés au cours de sa carrière. De fait, célèbre pour ses concerts télévisés, l'un des Trois Ténors l'est aussi pour ses participations à des actions de charité (fonds en soutien aux réfugiés et à la Croix Rouge).

    Luciano Pavarotti s'est éteint dans la nuit de mercredi à jeudi des suites de sa maladie, a annoncé son agent. Opéré en 2006 d'un cancer du pancréas, son état s'est brusquement aggravé mercredi. Le ténor italien était âgé de 71 ans.

     

    Pour en savoir plus :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Luciano_Pavarotti

    http://www.lucianopavarotti.com/

    http://info.rsr.ch/fr/news/Derniere_note_pour_Luciano_Pavarotti.html?siteSect=2010&sid=8176075&cKey=1189054816000


    votre commentaire