• La Galerie Robert Four présente des collections anciennes et des productions de sa manufacture d'Aubusson à travers quelques 400 modèles, exposés dans huit salles.
    La Manufacture Robert Four, première manufacture de tapisseries au monde, a tissé et restauré ou exposé des tapisseries dans le monde entier. Elle possède 500 cartons de tapisseries et de tapis d'Aubusson.

    Ses œuvres se trouvent dans toute l'Europe Occidentale, l'Amériqe du Nord et du Sud, le Proche-Orient, Hong-Kong, le Japon et l'Australie.
    Sa collection se complète de tapisseries Jacquard et de répliques de tapisseries d'époque en sérigraphie à la main.
    Sont exposés également des cartons de tapisseries du XIXème siècle.
     

    A 100m du Musée d'Orsay, de la Place Saint-Germain-des-Prés et de l'Ecole des Beaux-Arts. 


     
     

    Adresse

    8, rue des Saints-Pères

    Ville

    Paris (France)

    Téléphone

    33(0)1 40 20 44 96

    Fax

    33(0)1 40 20 44 97

    E-mail

    www.galrobfour_a@post.club-internet.fr

    Site Web

    www.franceantiq.fr/sna/rfour

     

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  • Dans la tradition de la manufacture des Gobelins, il y a la Manufacture d'Aubusson :

     

    http://www.aubusson-manufacture.com/

     

    Aubusson, capitale mondiale de la tapisserie située au coeur de la France et au bord des eaux pures de la Creuse, ici  le temps semble s'être arrêté...

    Aubusson, la vieille ville sur les rives de la Creuse
    Aubusson, la vieille ville sur les rives de la Creuse
     

    Comme jadis, à l'époque de la Manufacture Royale d'Aubusson, l'homme apprivoise la laine et les couleurs. 
    Les lissiers tissent sur leur métier, avec le même soin, retrouvant inlassablement les gestes d'autrefois, les plus beaux cartons du XVe au XIXe siècles et les créations des plus grands artistes contemporains. 

     Teinture des laines : dosage des couleurs
    Teinture des laines:
    dosage des couleurs
     

     

     
    Colbert 1664
    Colbert 1664
     

    Originaire d'Asie puis d'Afrique du nord, la tapisserie aurait été introduite en France au retour des croisades chrétiennes au proche-orient, ou peut-être dès l'époque des invasions sarrasines. 
    En tout cas cet artisanat est attesté à Aubusson dès le XVe siècle, et y a connu un essor progressif avec une apogée sous Louis XIV. C'est son Premier Ministre Colbert, qui a élevé Aubusson au rang de Manufacture Royale en 1664. 
    Juste consécration à une époque ou les tapisseries d'Aubusson rehaussaient le faste de toutes les cours d'Europe 

     

    Ce faste synonyme de privilèges, les tapisseries en ont souffert à l'époque de la révolution française et ont subi les mêmes destructions que beaucoup d'oeuvres d'art. 
    Ce déclin temporaire n'a pas empêché une renaissance au début du XXe siècle, initialisée par l'artiste Jean Lurçat et relayée par de grands noms de la peinture contemporaine comme Dali, Picasso ou Léger. Ils ont permis à la tapisserie d'Aubusson de trouver un nouveau souffle qui ne la destine plus seulement à des privilégiés. 
     
     

    Le chant du Monde Jean Lurçat
    Détail d'une tapisserie
    de Jean Lurçat
     

     

    Le travail commence toujours par l'élaboration du carton et la sélection des laines, puis par la coloration des laines à la main dans l'eau de la Creuse, dont la pureté a fait la réputation des teinturiers d'Aubusson.
     
    Le séchage naturel 
    des laines
     
     
    Le nouage sur Métier de haute lisse
    Le nouage sur Métier de haute lisse
     

    La diversité des techniques de fabrication et la touche personnelle que chaque artisan apporte à la réalisation d'une œuvre, en fait une pièce unique dans l'histoire de sa création : 

    Tapisseries et tapis tissés à la main sur métier de basse lisse  

    Tapis de Savonnerie noués à la main sur métier de haute lisse  

    Tapisseries et tapis au point piqué à l'aiguille 
     

                        
     
    Portrait du Général Lafayette, réalisé par nos Faiseurs de Chair pour le bi-centenaire des Etas Unis
    Portrait du Général Lafayette, réalisé par nos Faiseurs de Chair pour le bi-centenaire des Etas Unis
     

    Le savoir-faire le plus prestigieux est le secret des "Faiseurs de chair", une savante alchimie de fils de laine et de soie, d'or ou d'argent. Transmis par des générations de Maîtres lissiers, il permet de tisser des portraits avec une finesse et un réalisme proches de la perfection. 

     

    Maitrise également un savoir-faire inégalé dans l'élaboration de suites de répliques artisanales, qu'elles soient tissées, ou teintes à cœur de laine vierge : 

             Tapisseries tissées sur métier Jacquard 
             Tapisseries réalisées par sérigraphie d'art 


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  • Article selon les données du site :

    http://manufacturedesgobelins.fr/

     

    Les tapisseries tiennent leur valeur de ce qu'elles sont très laborieuses à produirent. Une sorte d'effort artistique qui ne semble parfaitement raisonnable que pour un monarche disposant de fonds illimités, de temps, et d'habiles artisans.

    Pour l'éxécution vous avez d'abord besoin d'un artiste pour esquisser la conception et d'un peintre pour transformer ce croquis en un carton peint de la même taille que la tapisserie.
    Des maîtres lissiers tissent alors les tapisseries en utilisant la soie, la laine, et parfois des fils d'or ou d'argent.
    Mais par dessus tout vous avez besoin de patience car cela prendra à un bon lissier un jour entier pour tisser une surface d'un sujet de la taille de la main humaine.

    Le terme "Gobelins" s'applique aujourd'hui indifférement à toutes sortes de tapisserie. Il peut aussi bien s'agir de Tapisseries de Basse lisses, de Hautes lisses, de Tapisserie sur métier à mécanique Jacquard ou de Tapisseries aux points d'aiguille. Nous vous présentons dans ces pages l'histoire de la manufacture qui a donné son nom à la Tapisserie et précisons ce qu'on entend par Hautes Lisses et Basses Lices.
    Pour ceux qui s'intéressent à la tapisserie aux points d'aiguille, nous ne saurions trop recomander le site lié ci-après sous le nom Petit Point, et qui raconte une partie très intéressante de l'histoire du
    Petit Point.

     

    M ANUFACTURE DES GOBELINS.Rue Berbier du Mets Ce célèbre établissement de tapisserie et de teinture, est situé à Paris, entre l'avenue des Gobelins, la rue Croulebarbe et la Bièvre.

    Les Gobelins étaient une famille champenoise Les Gobelins près de la Bièvre originaire de Reims, qui, au XV° siècle, avait établi dans le faubourg Saint Marceau, à Paris, une entreprise de teinture; Gilles Gobelin s'enrichit dans cette industrie et acquit de grandes propriétés sur les bords de la Bièvres, qu'on appela de son nom "rivière des Gobelins" JEAN GOBELIN teinturier, s'installa vers 1440 dans ce vallon verdoyant où coulait la Bièvre entre la Butte-aux-Cailles et la montagne Sainte-Geneviève. Henri IV y installa deux tapissiers flamands en 1601. Mais c'est surtout Louis XIV qui donna une impulsion considérable en créant en 1667 la manufacture royale des Meubles de la Couronne. Colbert y centralisa divers ateliers de tapisserie dispersés dans Paris, ajouta des ateliers d'ébénisterie, d'orfèvrerie….
    Au 18 ème siècle, le nom des Gobelins était connu dans les cours de l'Europe entière. Le 19 ème siècle vit une partie des bâtiments incendiés par la Commune en 1871. Il faut contourner la manufacture par la rue Croulebarbe et atteindre la rue Berbier-du-Mets, pour voir les constructions vraissemblablement antérieures au 17 ème siècle.
    La manufacture continue aujourd'hui à produire des tapisseries pour le "Mobilier national", faisant travailler des artistes contemporains. Mais comme autrefois, un ouvrier travaillant sur un métier de "haute lice" (le métier est vertical) fabrique 1 m2 de tapisserie en un an.

     

    "H ÔTEL ROYAL DES GOBELINS"
    En conséquence d'un édit de Louis XIV. Bâtiment des Gobelins par Formige Monseigneur Colbert ayant rétabli et enrichi avec magnificence les palais du roi, en particulier le Louvre et les Tuileries, pensa à créer et fabriquer des meubles appropriés à la splendeur de ces bâtiments : avec ce projet en vue il appela de tout le royaume et des nations étrangères les ouvriers les plus capables dans les divers arts et métiers d'art ; en particulier peintres, lissiers, sculpteurs, orfèvres, ébonists, et cætera. Tapisseire aux Gobelins Et pour rendre l'établissement prévu ferme et durable, il conseilla au roi d'acheter les Gobelins, afin que ces artistes puissent y travailler à leurs aises. Il élabora pour leur direction un système de lois, ou politique, en dix-sept articles. Par ces derniers il est réglé, que la nouvelle manufacture sera sous l'administration du superintendant des arts et des bâtiments du roi et cetera, que les maîtres ordinaires seront responsable de toutes les actions et processus apportés par une quelconque des personnes, leurs domestiques et personnes à charge, dans la dite manufacture ; qu'aucun autre travail de tapisserie ne sera importée de n'importe quel autre pays, et cetera. Les Gobelins sont depuis restés la première manufacture de cette sorte dans le monde. La quantité d'œuvres les plus fines et les plus nobles qui ont été produites par elle, et le nombre de meilleurs talents qu'elle a suscité, est tout simplement incroyable ; la condition d'épanouissement actuelle des arts décoratifs de la France, lui est, dans une grande mesure, redevable. Le travail de la tapisserie, en particulier, est leur gloire. Pendant la superintendance de M. Colbert, et de son successeur M. de Louvois, la réalisation de la tapisserie est pratiquée à un degré de perfection, rarement inférieur à ce qui était fait par les Anglais et dans d'autres provinces de France. Les batailles d'Alexandre, les quatre saisons, quatre éléments, les palais du roi, et une série des principales actions de la vie de Louis XIV, dès son mariage à la première conquête de la Franche Comté, conçues par M. Le Brun, directeur de la manufacture des Gobelins, sont des chefs d'œuvres dans leur genre.
    Sur l'avenue des Gobelins, le bâtiment (ci-dessus à gauche) date de 1912. Construit par Formige après l'incendie de 1871, il est en cours de réaménagement pour accueillir une galerie d'exposition.

     

    Chimie aux Gobelins LES GOBELINS
    C'est en 1443 que Jehan Gobelin s'installe comme teinturier sur les bords de la Bièvre au faubourg Saint Marcel, le long du chemin d'Italie. Sa spécialité est la teinture en écarlate obtenue grâce à la cochenille. Ses descendants se maintiendront jusqu'en 1601. L'atelier est alors revendu à des lissiers flamands : Jean de la Planche et Marc de Comans qui vont cependant continuer l'activité de teinture.
    En 1662, Colbert et Louis XIV rachètent l'entreprise et lui donnent un développement considérable, on estime en effet à 250 le nombre de lissiers. L'exemple du surintendant des finances Fouquet est déterminant, c'est en effet lui qui inaugure à Maincy un atelier de lisse Colbert aux Gobelins fonctionnant pour son usage personnel avec une main d'oeuvre flamande. Louis XIV reprendra d'ailleurs à son service les lissiers de Fouquet qui achèveront pour leur nouveau maître les tapisseries du surintendant. Le roi reconstruit l'ensemble des locaux qui nous parviennent aujourd'hui dans un remarquable état de conservation malgré les travaux d'Haussmann qui écornent la façade des Gobelins lors du percement de l'avenue du même nom dès 1859 ; la Commune apporte son lot de destructions mais les bâtiments sont sauvés d'un incendie général. En 1913, l'architecte Formigé construit une galerie en façade sur l'avenue des Gobelins pour servir de musée. Depuis quelques années l'Etat envisage enfin la restauration générale des bâtiments de travail , des logements des lissiers et du musée. C'est ainsi qu'au début de l'année 2003, l'atelier dit du Nord a été réouvert au public, présentant des métiers de haute lisse dans le cadre du XVIlème siècle conçu par le roi. Actuellement, l'atelier compte trente-cinq lissiers. La production des trois manufactures est toute entière réservée à l'Etat ou aux cadeaux diplomatiques.
    Carton aux Gobelins
    Technique : les Gobelins pratiquent exclusivement la haute lisse depuis 1826, la basse lisse étant désormais réservée à la Manufacture de Beauvais. Dressé verticalement, le métier est constitué de deux montants appelés jumelles ou coterets qui maintiennent deux ensouples (rouleaux), celle du bas recueillant le tissu et celle du haut accueillant la réserve de fils de chaîne. Les fils de chaîne sont séparés en deux nappes par des bâtons de croisure (appelés aussi bâtons d'entre-deux). Le lissier travaille face à la lumière sur l'envers de son ouvrage, contrôlant celui- ci sur l'endroit à l'aide d'un miroir. Il se retourne pour voir derrière lui son carton (ou modèle). Chacun des fils de chaîne de la nappe arrière (par rapport au lissier) est muni d'une lisse (cordelette de coton qui en fait le tour) et permet de ramener à l'avant cette nappe arrière ; la nappe avant reste fixe. Muni d'une broche (ou navette) le lissier introduit ses fils de trame entre les fils de chaîne puis ramène d'arrière en avant la nappe arrière avant d'effectuer le retour avec la même broche. Il va ainsi recouvrir totalement la chaîne avec la trame, particularité essentielle d'une tapisserie ou tissu à effet de trame. Loin d'être un simple exécutant, le lissier est donc bien un artiste qui interprète le carton fourni par l'artiste cartonnier.

    BEAUVAIS Fileuse aux Gobelins
    Fondée en 1664 dans la ville de Beauvais, la manufacture répond à l'époque à la demande privée dans l'esprit du roi ; elle concurrence également les importations flamandes en leur coupant la route de Paris. Très brillante, la production se spécialise au XVIIIème siècle dans les tissus d'ameublement, plus petits, et donc plus faciles à écouler. La manufacture utilise alors majoritairement la basse lisse, plus rapide et permettant des tissages plus précis , tout en adoptant la chaîne en coton qui rend le tissu plus solide. A la veille de la Révolution, la manufacture risque de disparaître et devient finalement nationale (elle avait toujours été auparavant une entreprise privée; à la différence des Gobelins dont la production était réservée au roi, Beauvais vendait la sienne aux particuliers.) En 1826, Beauvais envoie aux Gobelins ses derniers métiers de haute lisse et se spécialise définitivement en basse lisse. En 1940, la manufacture est rapatriée à Paris puis à Aubusson pendant l'occupation. En 1945, la ville de Beauvais est totalement détruite et l'Etat décide d'installer la manufacture aux Gobelins. En 1968, l'architecte Blanchet construit à proximité des Gobelins le bâtiment Tapisserie basse lisse beauvais dit des nouvelles manufactures où Beauvais s'installe. Finalement, en 1989, Beauvais retourne dans sa ville d'origine. Actuellement, vingt lissiers travaillent à Paris et vingt à Beauvais.

    Technique : La basse lisse se rapproche beaucoup de la haute lisse. En tout état de cause, le résultat est techniquement identique. Le lissier dispose de marches (ou pédales), reliées par des lisses aux fils de chaîne pairs ou impairs. L'une des marches permet d'ouvrir la chaîne en deux nappes, l'autre de les croiser. Le lissier effectue ses duites (allers et retours de fils de trame) au moyen d'une flûte (ou navette) et ramène ces duites les unes contre les autres au moyen d'un grattoir (patte métallique munie de dents). Le lissier tasse ensuite les duites soigneusement à l'aide d'un peigne (comme on le fait aussi en haute lisse). Le carton sera ici directement glissé sous les fils de chaîne après avoir été reproduit à l'envers sur un papier toilé au moyen d'un calque. On travaille toujours sur l'envers de l'ouvrage et l'on contrôle l'endroit au moyen d'une glace. Le gain de temps est suffisamment important pour que la basse lisse ait progressivement supplanté la haute lisse dont les très grands métiers permettent cependant de tisser des pièces plus monumentales.

     

    LA SAVONNERIE
    La manufacture est fondée en 1627 par Louis XIII qui l'installe sur la colline de Chaîllot dans une ancienne savonnerie transformée par Marie de Médicis en orphelinat. C'est cette main d'oeuvre que vont utiliser deux lissiers du nom de Pierre Dupont et Simon Lourdet (Dupont a effectué quelques années auparavant un voyage en Turquie d'où il a ramené la technique du point noué, permettant de tisser "des tapis veloutés façon du Levant"). La manufacture quitte Chaillot en 1826 pour être installée aux Gobelins où elle récupère ses anciens ateliers de basse lisse. Enfin l'atelier est installé sur deux niveaux dans le bâtiment des nouvelles manufactures en 1968. Aujourd'hui 40 lissiers oeuvrent à la Savonnerie.

    Technique : Le métier à tisser de haute lisse est le même qu'aux Gobelins. Mais ici le lissier (ou Savonnier) effectue un point noué avec sa broche, c'est à dire qu'il passe alternativement avec celle-ci derrière un fil de chaîne avant, puis derrière un fil de chaîne arrière. Il forme ainsi un noeud sur l'envers de son ouvrage, tout en gardant une boucle sur l'endroit qui sera tondue pour obtenir un velours. Lavage aux Gobelins L'opération sera répétée sur toute la longueur de la chaîne de l'ouvrage, en progressant de gauche à droite et toujours sur un fil de chaîne avant puis arrière. Il n'est donc plus question ici de duites. Les lisses servent à ramener temporairement et un par un les fils de chaîne arrières à l'avant. Ensuite sont intercalés des fils de lin entre chacune des rangées de boucles et de noeuds ainsi réalisés. Ceci pour assurer la solidité du tapis, oeuvre de sol par excellence. Le lissier tond ensuite son ouvrage au fur et à mesure des rangées de boucles réalisées, puis démêlera les poils ainsi obtenus, horizontalement. Enfin après avoir démêlé les motifs du tapis le lissier rangera son ouvrage avec la pointe de ses ciseaux (c'est à dire qu'il redressera les poils de son tapis un par un pour obtenir une perfection en accord avec celle de son carton). Les opérations de démêlage et de rangement ont été inventées par les Français et ne sont donc pas pratiquées en Orient.

     

     

    A History Embroidered in Tapestry.

    The Petit Point of tapestry needle-worked is closely related to a character of the French history as to particular patrimonial places. Maintenon stamp
    It is indeed Madam de Maintenon, wife of Louis the Great, who has linked her name with this decorative art.
    This stitch of tapestry was taught to the noble girls of its time. For their education Madam de Maintenon Maintenon stamp asked Louis XIV to put up the money for a school. After standing few years to Choisy le Roi, the school at last got settled, in Saint Cyr, a small village close to Versailles.
    Louis XIVth also offered to Mrs Scaron (name whom she held from its first marriage with this famous writer) a castle at Maintenon in the Eure valley (about twenty miles from Versailles). The King to this occasion conferred her the marchioness title of nobility. Since then she will bear the title of Marchioness of Maintenon.
    These are thus the bonds that form the Petit Point between these characters and the places which they lived that, with the words, we propose to embroider for you a tapestry.

     


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  • Comme l'indique Annaïck Chauvel sur son site :

    Elle décide en 2002 de créer des sujets de point compté sur les thèmes qu’elle affectionne :
    La Mythodologie Celtique, Le Merveilleux du Moyen Age, la Féerie, le Légendaire, c’est tout naturellement le terreau de son inspiration.

    Il est des noms qui vous façonnent
    comme une seconde peau,
    une âme puisée dans le Grand Temps
    que l’on vous attribue.
    Et c’est ainsi qu’un jour l’on me nomma : Nimuë.

     

    NIMUË
    ZA La Croix du Houx
    35380 Paimpont en Brocéliande
    Tél. / Fax : 02 99 64 08 47
    http://www.nimue.fr/

     


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  • Voici un Atelier, spécialisé en patch mais aussi en broderie que j'aime beaucoup :

     

    http://www.atelier-isabelle.com/

     

    L'Atelier d'Isabelle
    Venelle de la Cristallerie
    17410 Saint Martin de Ré

    Tel/Fax: +33 (0)5 46 01 73 47
    e-Mail: info@atelier-isabelle.com

     


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